Quand j'ai rejoint l'équipe AC en mai 2024, l'espace de travail numérique était un désastre. Fichiers dispersés dans Teams, OneDrive, SharePoint. Aucune structure. Aucune marque. Aucune source unique de vérité.

Le mandat était clair : le réparer.

La solution n'était pas technique—elle était architecturale. Nous avions besoin de deux choses :

■Atelier privé : Collaboration interne sécurisée avec hiérarchie de dossiers cohérente
■Site public : Présence officielle accessible à l'agence

La construction :

■Conçu l'image de marque visuelle complète (couleurs, polices, mises en page)
■Créé le Répertoire de données publiques pour les conclusions des initiatives AC
■Construit les pages essentielles avec les présentations d'équipe et les coordonnées
■Établi le cadre de gouvernance

Le résultat : réduction de 60 % du temps de récupération de l'information.

Mais la vraie leçon ne concernait pas SharePoint. Elle concernait la mémoire organisationnelle.

L'infrastructure numérique n'est pas seulement du stockage—c'est la connaissance institutionnelle rendue accessible. Chaque structure de dossiers est une décision sur la façon dont le travail circule. Chaque convention de nommage est une déclaration sur ce qui compte.

L'écosystème AC est devenu la fondation pour tout ce qui a suivi : le centre IA, le portail RAC, le centre de commandement de projet. Vous ne pouvez pas construire des systèmes avancés sur des fondations chaotiques.

Trois principes ont émergé :

■La structure précède le contenu : Obtenir l'architecture correcte d'abord
■La marque est la clarté : L'identité visuelle n'est pas de la vanité—c'est de l'orientation
■Public par défaut : La transparence force la qualité

Le site Atelier est devenu le système d'exploitation de notre équipe. Le site public est devenu notre mécanisme de responsabilité. Ensemble, ils ont transformé notre façon de travailler.

Du chaos au système en 6 semaines. Le travail technique était simple. Le changement organisationnel était la partie difficile—et la partie qui comptait.